Renseignements sur le participant Organisme canadien de réglementation des investissements

1 Canadien sur 5 est un investisseur autonome. Ce type d’investissement est plus populaire parmi les Canadiens racialisés (28 %) que parmi les Canadiens non racialisés (18 %).

18 % des investisseurs canadiens n’ont pas déposé de plainte officielle lorsqu’ils avaient des inquiétudes concernant leurs comptes de placement, la raison principale invoquée étant que « cela ne donnerait aucun résultat ».

2 Canadiens sur 3 comprennent le fonctionnement de l’intérêt composé.

20 % des investisseurs canadiens ne savent pas à qui s’adresser s’ils souhaitent déposer une plainte officielle.

35 % des investisseurs ayant un conseiller ne savent pas comment leur conseiller est rémunéré.

40 % des investisseurs canadiens pensent que la divulgation d’information par l’industrie du placement est adéquate.

54 % des Canadiens ont reçu de l’information sur la façon de détecter les fraudes en matière de placement, principalement par le biais de ressources bancaires, de documents en ligne, de conseillers financiers ou de médias sociaux.

Environ 1 Canadien sur 5 à qui l’on a proposé une possibilité d’investissement frauduleuse a été escroqué, les Canadiens de première génération étant les plus vulnérables à ce type de fraude.

Environ 1 Canadien sur 5 déclare avoir été exposé à une possible fraude en matière d’investissement; de ce nombre, 14 % ont signalé la situation, 81 % n’ont pas signalé la situation et 5 % ne savaient pas qu’il s’agissait d’une possible fraude.

Environ 60 % des Canadiens comprennent l’effet de l’inflation sur l’épargne.

Environ la moitié des Canadiens n’ont pas de placements, la principale raison invoquée étant qu’ils n’ont pas suffisamment d’argent pour investir.

Environ la moitié des Canadiens comprennent qu’un fond mutuel procure un rendement plus assuré que l’achat d’actions auprès d’une seule compagnie.

Environ la moitié des Canadiens comprennent la relation entre les obligations et les taux d’intérêt.

Les Canadiens qui ont été aux prises avec des problèmes de santé ou qui ont vécu des événements majeurs de la vie disposent de moins d’actifs investissables.

Les Canadiens préfèrent principalement recevoir de l’information sur leurs placements par le biais de canaux numériques (68 %), puis dans le cadre d’une rencontre avec leur conseiller ou dans une copie papier de leur relevé bancaire (15 % dans chaque cas).

Seulement 1 Canadien sur 4 peut déterminer correctement l’effet composé des frais sur les investissements au fil du temps.

Les Canadiens racialisés sont plus susceptibles de déclarer avoir une tolérance au risque plus élevée (16 %) que les autres Canadiens (6 %).

Enquête sur les investisseurs